samedi, août 05, 2006

08/06 1ere semaine/ first week



Apres 2 ans de bons et loyaux services, nous avons decides de nous separer de ma voiture (surnomme "la postiere"), vu les nombreuses annees au service de la poste Americaine, a delivrer le courier a droite a gauche.
Elle fonctionnait encore tres bien cette voiture, nous permettait de rouler dans certains quartiers sans eveiller l'attention, et permettait encore de nos jours, bien qu'apres un certain temps, d'avoir une climatisation qui rends les etes torrides de l'Arizona plus supportable.
La decision cependant, fut implacable lorsque nous recumes cette semaine, la proposition de renouvellement d'assurance. Payer ce prix la, pour le peu que nous roulions avec, et ce principalement pour eviter d'utiliser la voiture de Katherine, n'avait pas de sens.
Ce fut donc, non sans tristesse, que nous avons vendu ce cher vehicle a un Mexicain qui passait par la, qui s'en servira pour sa femme et son bebe, de maniere a ce que ce soit elle, cette fois, qui puisse profiter de la clim.
Je n'ai pas oser lui dire que quand l'hiver viendra, ce sera une autre histoire, car le chauffage, lui, ne fonctionne plus. Mais bon, les affaires, c'est les affaires, et donc disais-je, je laissa la partir un temoin de mon divorce, une machine temoin de nouveaux espoirs, une page dans mon histoire qui se tourne.

Le reste de la semaine fut routine. 2 fois comme d'habitude, nous avons sortis le planeur, mais le deuxieme vol fut interrompu par des orages, ammenant pluies et vent, ce qui ici, se transforme en un orage de poussiere comme on en voit a Baghdad sur CNN.
Donc, retour vite fait a la case depart apres 1:30 de vol, ce qui fut bien court, puisque je passe en general 5 hrs par vol a tracer des ronds dans les cieux.
Le premier vol lui par contre fut merveilleux, sans doute une des meilleures journees dans l'Arizona, et ce jour la, j'ai effectue quelque chose comme 250 kms, en faisant tres peu de virages, car le ciel etait parseme de rues de cumulus, qui sans etre tres haut ( plafond a 9500 pieds, ce qui est plutot bas ici) me permis d'aller me prommener.

Un grand merci a Kate, qui a termine cette semaine, un travail de 100 hrs environ, passe devant une machine a coudre, pour confectionner des housses pour les ailes et fuselage digne de ce nom, pouvant resister aux UV, a la chaleur, et a cette poussiere omni presente.
Desormais, le planeur couche dehors pendant mes semaines de repos, parce que monter et demonter les ailes a chaque fois devient vite fais rasoir, et bien casse pieds, surtout dans cette chaleur!
Non franchement, elle est formidable cette fille la, je l'aime!


This week was a good week, as usual. Our main focus was gliding. Turns out our devotion was well paid dividends wherein Richard stated that this Tuesday was one of the best he had ever seen. Big, billowy clouds, thermals just poppin' and bursting to take you up for a long, long ride. Unfortunately, as usual for late Summer in the great American desert, a monsoon threatened, forcing the week's gliding to end sooner than usual. However, still a week to remember!

Good thing that our newly created glider covers worked out! The Arizona sun being so strong, it quickly destroys anything left unprotected. Funny that when the sailplane is all dressed up in her covers she looks like a patient post surgery, all nestled in squishy guaze.

Lastly, this week, we bid a sad yet timely farewell to La Postiere, our beloved car from 1986. She was fun to drive, even more fun to be in, because her not-so-recent stylings tended to push the envelope of acceptable mode of transport for most of your typical, materialistic must-keep-up-with-the-Jones Americans. She was roomy, lovingly took Richard and I to and from the airport every other week to drop him off and pick him up from work. And followed us to the gliderports around town. Indeed, she will be missed. Alas, however, coming to the end of her lifespan, we "donated" her to another couple, where we expect she will actually enjoy more years, since the man of the house works on cars. Adieu, La Postiere.

Well, the week's eyes are starting to shut a glimmer, ready for her long nap in the coming days while Richard is away, wherein life becomes a state of suspended amination, just trying to hold on 'til the next week arrives, my love comes home, and life starts anew, like butterflies repeatedly reborn each time they are re-introduced to each other. And so, I, too, will bid you all adieu until my true world - the world of Kate AND Richard - returns and my life, too, begins again.

Good night!

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